Le visa vacances-travail (PVT) est une porte ouverte pour les jeunes voyageurs souhaitant découvrir la Nouvelle-Zélande tout en finançant leur séjour par le travail. Toutefois, une récente augmentation du prix du PVT, passant de 455 à 705 dollars néo-zélandais, bouleverse les plans de nombreux futurs backpackers. Cet article explore les raisons derrière cette hausse, son impact potentiel et les stratégies à adopter pour continuer à profiter de cette expérience unique sans se ruiner. Avant de partir en PVT Nouvelle-Zélande souscrit ton assurance chapka et bénéficie de 5% !

Le prix du PVT Nouvelle-Zélande va passer de 455 à 705 $ 

Qu’est-ce que le PVT en Nouvelle-Zélande ?

Le Programme Vacances-Travail (PVT) est un visa temporaire permettant aux jeunes de 18 à 35 ans (selon les pays) de voyager et de travailler en Nouvelle-Zélande pendant une durée allant jusqu’à 12 mois. Ce programme attire des milliers de jeunes aventuriers chaque année, leur offrant l’opportunité de découvrir les paysages à couper le souffle de la Nouvelle-Zélande tout en se plongeant dans la culture locale.

Le visa PVT est particulièrement prisé en raison de la flexibilité qu’il offre. Les titulaires peuvent travailler dans presque tous les secteurs d’activité, des emplois saisonniers dans les fermes aux postes dans les restaurants et les commerces. Ce programme leur permet de financer leur voyage tout en explorant ce coin de paradis.

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Une augmentation significative du prix : Pourquoi maintenant ?

L’augmentation du prix du visa PVT pour la Nouvelle-Zélande, de 455 à 705 dollars, est une hausse spectaculaire de près de 70 %. Pour de nombreux voyageurs potentiels, cette nouvelle représente une surprise désagréable. Mais pourquoi cette augmentation soudaine ?

Les raisons derrière cette hausse

• Inflation et ajustement des coûts : Comme de nombreux autres pays, la Nouvelle-Zélande a dû faire face à des ajustements économiques en raison de l’inflation mondiale. Le gouvernement néo-zélandais a revu les frais de visa en tenant compte de l’augmentation des coûts administratifs liés au traitement des demandes et aux services liés à l’immigration.
• Investissement dans les infrastructures d’immigration : La pandémie de COVID-19 a eu un impact énorme sur les systèmes d’immigration à travers le monde, y compris en Nouvelle-Zélande. Pour renforcer leur capacité à gérer les demandes et améliorer les services offerts, les autorités néo-zélandaises ont décidé d’investir dans de nouvelles infrastructures et technologies, ce qui se reflète dans l’augmentation des frais de visa.
• Évolution des conditions du marché du travail : Le marché du travail en Nouvelle-Zélande a évolué depuis la réouverture des frontières après la pandémie. Le gouvernement souhaite s’assurer que les personnes venant avec un visa PVT contribuent activement à l’économie, en particulier dans les secteurs où il y a une demande de main-d’œuvre, comme l’agriculture et le tourisme. L’augmentation des frais pourrait aussi être un moyen de réguler le flux d’arrivées.

L’impact de cette hausse sur les futurs Backpackers

L’augmentation des frais de visa aura sans aucun doute un impact sur les voyageurs, en particulier ceux qui prévoient leur séjour avec un budget serré. Passer de 455 à 705 dollars, c’est une somme conséquente à ajouter à un budget déjà souvent limité pour les jeunes en quête d’aventure.

Une charge financière supplémentaire

• Coût initial plus élevé : En plus du billet d’avion, du logement temporaire et des assurances, le prix du visa constitue une dépense incontournable pour les voyageurs. Cette augmentation risque donc de freiner certains jeunes ayant des moyens financiers limités, ou de les obliger à retarder leur départ pour économiser davantage.
• Réévaluation des projets de voyage : Certains futurs Backpackers pourraient se retrouver dans l’obligation de repenser leur itinéraire ou d’ajuster la durée de leur séjour en Nouvelle-Zélande pour compenser ce surcoût. Pour d’autres, il pourrait s’agir d’une opportunité manquée, le coût du visa devenant un obstacle infranchissable.

Comment s’adapter à cette nouvelle réalité financière ?

Face à l’augmentation du coût du visa PVT, plusieurs stratégies peuvent être mises en place pour continuer à profiter de cette opportunité de voyage tout en maîtrisant son budget.

Optimiser son budget avant le départ

• Économiser davantage : Évidemment, la solution la plus simple est de prévoir un budget plus conséquent avant de partir. Fixez-vous un objectif d’épargne en tenant compte du nouveau prix du visa ainsi que des dépenses de séjour. Travailler quelques mois supplémentaires dans votre pays d’origine peut faire la différence.
• Rechercher des offres de vol et d’hébergement : Il est essentiel de surveiller les offres spéciales et les promotions sur les vols, ainsi que de trouver des solutions de logement plus abordables comme le couchsurfing ou le volontariat dans des auberges.

Profiter des opportunités de travail en Nouvelle-Zélande

La beauté du PVT réside dans la possibilité de travailler sur place pour financer son séjour. Voici quelques conseils pour maximiser ses chances :

• Se préparer à l’avance : Recherchez des offres d’emploi avant même de partir pour la Nouvelle-Zélande. De nombreux sites web spécialisés dans les emplois pour backpackers permettent de postuler en ligne. Cela vous donnera une longueur d’avance dès votre arrivée.
• Favoriser les emplois bien rémunérés : Certains secteurs, notamment l’agriculture, la construction et l’hôtellerie, proposent des salaires attractifs pour les Backpackers. En travaillant à plein temps pendant quelques mois, il est possible de mettre suffisamment d’argent de côté pour financer le reste du séjour.

Explorer les alternatives au PVT

• Chercher d’autres destinations : Si la hausse du prix du PVT pour la Nouvelle-Zélande dépasse vos capacités financières, il existe d’autres destinations proposant des visas vacances-travail à des prix plus abordables, comme l’Australie ou le Canada.
• Voyager sans travailler : Si vous souhaitez simplement découvrir la Nouvelle-Zélande sans avoir besoin de travailler sur place, d’autres types de visas, comme le visa touristique, peuvent être une alternative moins coûteuse.

Conclusion : Un nouveau défi pour les voyageurs aventureux

Le passage du prix du visa PVT Nouvelle-Zélande de 455 à 705 dollars représente un défi supplémentaire pour les jeunes aventuriers, mais il ne s’agit pas d’un obstacle insurmontable. Avec une bonne préparation financière et une gestion rigoureuse du budget, cette expérience unique reste à la portée des voyageurs déterminés. De plus, les opportunités de travail en Nouvelle-Zélande permettent de compenser ce surcoût, à condition de planifier efficacement son séjour.

Alors, même si cette augmentation peut sembler décourageante, elle ne devrait pas freiner votre envie de découvrir la magnifique terre des kiwis, de ses plages dorées à ses montagnes majestueuses. Le PVT en Nouvelle-Zélande reste une expérience inoubliable, et malgré les coûts supplémentaires, la richesse des découvertes qu’il offre vaut largement l’investissement.